Turgon (Charente)

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Turgon
Turgon (Charente)
La mairie de Turgon.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Confolens
Intercommunalité Communauté de communes de Charente Limousine
Maire
Mandat
Régis Martin
2020-2026
Code postal 16350
Code commune 16389
Démographie
Gentilé Turgonnais
Population
municipale
83 hab. (2021 en diminution de 3,49 % par rapport à 2015)
Densité 11 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 57′ 02″ nord, 0° 24′ 03″ est
Altitude Min. 134 m
Max. 182 m
Superficie 7,26 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Charente-Bonnieure
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Turgon
Géolocalisation sur la carte : France
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Turgon
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Turgon
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Turgon

Turgon (Turgont en occitan) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont les Turgonnais et les Turgonnaises[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation et accès[modifier | modifier le code]

Turgon est une commune du nord-est du département de la Charente située à 5 km au sud de Champagne-Mouton et 39 km au nord-est d'Angoulême.

Le bourg de Turgon est aussi à 6 km à l'ouest de Saint-Laurent-de-Céris, 8 km au nord-ouest de Saint-Claud, 18 km au sud-est de Ruffec, 19 km au nord-est de Mansle et 22 km à l'ouest de Confolens[2].

À l'écart des grandes routes, la commune est bordée à l'est par la D 28, route de Saint-Claud à Champagne-Mouton qui passe au Grand Madieu, et à l'ouest par la D 36, route de Champagne-Mouton à Beaulieu et Cellefrouin, qui passe à 300 m du bourg. Celui-ci est desservi par la D 172, qui va en direction de Parzac et Saint-Claud[3].

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

La commune compte quelques hameaux : la Garnerie au sud-ouest du bourg, Chez Vallentin au nord, Chez la Rose en limite orientale, etc.[3].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La commune s'étend sur des terrains calcaires du Jurassique (Dogger) recouverts de placages d'argile jaune à silex ou sableuse, dépôts du Tertiaire en provenance du Massif central[4],[5],[6],[7]. Ces plateaux argileux sont riches de dolines (phénomène karstique).

Le relief de la commune est celui d'un plateau assez élevé, d'une altitude moyenne de 160 m. Une vallée sèche s'amorce au sud du bourg et part vers le sud-ouest en direction du ruisseau de Chassiecq et de la Sonnette.

Le point culminant de la commune est à une altitude de 182 m, situé sur la limite avec Beaulieu et son château d'eau (borne IGN). Le point le plus bas est à 134 m, situé sur la limite ouest au pied de la Garnerie. Le bourg est à 170 m d'altitude[3].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Turgon.

La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[8]. Elle est drainée par des petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 1 km de longueur totale[9],[Carte 1].

La commune n'est traversée par aucun ruisseau, le sol étant karstique.

Il y a toutefois un ruisseau intermittent et un étang à l'est tout le long de la limite communale avec Le Grand-Madieu, descendant un vallon vers le sud-ouest en direction de Parzac et de la Sonnette[3].

Gestion des eaux[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[10]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [11].

Climat[modifier | modifier le code]

Comme dans une grande partie du département, le climat est océanique aquitain, légèrement dégradé au nord.

Végétation[modifier | modifier le code]

La commune est en revanche assez boisée (bois du Parc de Turgon).

L'évolution agricole de ces dernières années a entraîné une mise en culture d'une majorité des terres de la commune et la disparition de l'élevage.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Turgon est une commune rurale[Note 1],[12]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[13],[14]. La commune est en outre hors attraction des villes[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (69,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (34,4 %), forêts (30,3 %), prairies (24,6 %), zones agricoles hétérogènes (10,7 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Turgon est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible)[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Turgon.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 69 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 69 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[20],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[21].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[18].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Les formes anciennes sont Turgunte vers 1300[22], Turgondio (sans date, Moyen Âge)[23].

Le nom de Turgon viendrait du gaulois turco qui signifie « sanglier », avec suffixe -untum[24]. Turco- est un thème de nom propre gaulois et signifie "porc"[25]. Au Moyen Âge, Turgon, entouré de forêts, était un rendez-vous de chasse[26].

Limite dialectale[modifier | modifier le code]

La commune est à la limite entre la langue d'oïl (domaine du poitevin) au nord-ouest, et le domaine occitan (dialecte domaine marchois) au sud-est[27],[28].

Elle se nomme Turgont en occitan[29].

Histoire[modifier | modifier le code]

Au XVIe siècle, les terres de Turgon, Chassiecq et une partie du Vieux-Cérier formaient une châtellenie, qui était possédée par François Pastoureau, conseiller du roi au parlement de Paris[Note 2]. À la fin du XVIIe siècle, elle passe à Louis Gilles le Maistre, chevalier, marquis de Ferrières, ainsi que le fief voisin du Plessis.

En 1774, Élisabeth de La Rochefoucauld, duchesse d'Anville et baronne de Champagne-Mouton, achète l'ensemble pour 110 000 livres[30].

Turgon dépend alors du diocèse d'Angoulême[31].

Pendant la première moitié du XXe siècle, la commune était desservie par la petite ligne ferroviaire d'intérêt local à voie métrique des Chemins de fer économiques des Charentes allant d'Angoulême à Confolens par Saint-Angeau appelée le Petit Mairat

Au début du XXe siècle, l'industrie dans la commune consistait en la fabrication de charbon de bois et d'extraction de pierre à chaux près du bourg[30].

En 1940, Turgon était située en zone occupée, proche de la ligne de démarcation qui se situait aux alentours du village de la Garaudie sur la route du Grand-Madieu.

Administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1981 ? Gabriel Journault DVG  
1987 mai 2020 Robert Lassier SE Retraité de l'équipement
mai 2020 En cours Régis Martin[32]    

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[34].

En 2021, la commune comptait 83 habitants[Note 3], en diminution de 3,49 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
314264334322340340325345362
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
358323299300270276290278286
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
274268241261254222191201174
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021
1341291121108595878683
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

D’après le recensement Insee de 2007, Turgon compte 93 habitants (soit une augmentation de 10 % par rapport à 1999). La commune occupe le 33 400e rang au niveau national, alors qu'elle était au 33 485e en 1999, et le 395e au niveau départemental sur 404 communes.

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 18,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 43,1 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 43 hommes pour 43 femmes, soit un taux de 50 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,59 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[37]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,0 
14,0 
75-89 ans
7,0 
27,9 
60-74 ans
37,2 
14,0 
45-59 ans
20,9 
23,3 
30-44 ans
18,6 
4,7 
15-29 ans
4,7 
16,3 
0-14 ans
11,6 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2020 en pourcentage[38]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,6 
75-89 ans
11,8 
20,3 
60-74 ans
20,9 
20,9 
45-59 ans
20,5 
16,8 
30-44 ans
16,1 
15,6 
15-29 ans
13,6 
16,4 
0-14 ans
14,5 

Économie[modifier | modifier le code]

Équipements, services et vie locale[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église paroissiale.

L'église paroissiale Saint-Sixte qui date peut-être du XIVe siècle a été très modifiée au XIXe siècle.

La maison noble du Plessy (autrefois orthographié Plessis) a appartenu à la fin du XVIIe siècle à la châtellenie de Turgon.

Le logis des Forges est sur un domaine connu depuis 1692. Le manoir du Champ-Rigaud est lui, connu depuis le XVIe siècle.

Le petit patrimoine comprend four à pain, puits et fontaine avec lavoir[39].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Cité dans Coustumes du Comté et Pays de Poitou, Anciens ressorts et enclaves d'iceluy, 1559.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Turgon » sur Géoportail (consulté le 22 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le ).
  2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  3. a b c et d Carte IGN sous Géoportail
  4. Carte du BRGM sous Géoportail
  5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Ruffec », sur Infoterre, (consulté le ).
  7. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Confolens », sur Infoterre, (consulté le ).
  8. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  9. « Fiche communale de Turgon », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  10. « SAGE Charente », sur gesteau.fr (consulté le ).
  11. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Turgon », sur Géorisques (consulté le ).
  19. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  20. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  21. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Turgon », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  22. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 270
  23. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. II, Angoulême, imprimerie Roux et Despujols, , 588 p., p. 219
  24. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 688.
  25. Georges Dottin, La langue gauloise, , 381 p. (lire en ligne)
  26. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
  27. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
  28. Charles de Tourtoulon et Olivier Bringuier, Limite géographique de la langue d'oc et de la langue d'oil, Paris, Imprimerie nationale (réimprimé en 2007 par Massert-Meuzac, IEO), , 63 p. (Carte de la limite oc-oil en France, partie ouest, visualisation en ligne)
  29. (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le ).
  30. a et b Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 392
  31. « Présentation de la commune », notice no IA16000901, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  32. « Welcome to nginx! », sur cafeyn.co (consulté le ).
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Turgon (16389) », (consulté le ).
  38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  39. « Turgon », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Dujardin V., Moinot É., Ourry Y. (2007) - Le Confolentais, entre Poitou, Charente et Limousin, Images du patrimoine, n° 243, Geste éditions, 2007.

Liens externes[modifier | modifier le code]